« Oui comment ne pas penser d’abord à toi
A tes caresses comme une odorante verdure
A tes élans puissants traduits dans un murmure
A la source de vie que tu portes en toi »
Jacques Viallebesset, l’écorce des cœurs, 2011
« Oui comment ne pas penser d’abord à toi
A tes caresses comme une odorante verdure
A tes élans puissants traduits dans un murmure
A la source de vie que tu portes en toi »
Jacques Viallebesset, l’écorce des cœurs, 2011